Cela fait suite aux récentes déclarations mensongeres et dénigrants d’un groupuscule d’agents à l’endroit des dirigeants actuels du Conseil Gabonais des Chargeurs (CGC).
En effet, ce mardi 12 janvier 2021, il a été diffusé sur les antennes de Gabon 1 ère une déclaration d’un certain « Regroupement pour la préservation des emplois des agents du Conseil Gabonais des Chargeurs (RPEACGC) » sur une supposé situation actuelle du Conseil Gabonais des Chargeurs.
Problème : » A ce jour, un seul collectif des agents du Conseil Gabonais des Chargeurs dont le président du Bureau du Collectif est Monsieur Calixte Obame Ndong « a indiqué la direction générale de l’Office des Ports et Rades du Gabon qui, depuis la décision du Conseil de ministres du 26 février 2019, assure la gestion des missions, attributions et le patrimoine du Conseil Gabonais des Chargeurs.
Ainsi, selon la direction générale de l’OPRAG, « cette déclaration faite dans le but de de paraître pu de nuire, est dénuée de tout fondement et de vérité car, ses auteurs sont, complètement, en déphasage avec la réalité du Conseil Gabonais des Chargeurs et avec le temps actuel ».
À titre d’exemple, contrairement aux affirmations de ce fameux groupuscule, « à ce jour aucune ambauche n’a été faite, pour le compte du CGC » affirme la direction générale de l’OPRAG avant d’ajouter que « (bien au contraire) depuis un peu moins d’un an, la direction générale actuelle s’est employée à renflouer le CGC en rétablissant la confiance et en démontrant la viabilité de la maison par la remise à plat de l’appareil de production et une nouvelle organisation qui permet aujourd’hui, un fonctionnement normal de la boîte ».
S’agissant des allégations sur les arriérés de salaires, la direction générale précise que « les salaires, les gratifications, la rentrée scolaire et le début de règlement d’arriérés de salaire cumulés depuis plusieurs années sont assurés au vu et au su des agents ».
Enfin, selon la direction générale de L’OPRAG, « la déclaration faite par ce groupuscule d’agents nostalgique des pratiques du passé et ignorants le changement de temps et de paradigme, a pour seul souci de voir disparaître le Conseil Gabonais des Chargeurs », d’où son appel à « la plus grande prudence, plus de conscience professionnelle et au travail pour maintenir les acquis, les faire évoluer et tourner, définitivement la page ».